J’ai testé : dans la peau d’une mascotte

L’événement a débuté avec une séance de conseils sur l’alimentation et le sport. Les familles ont ensuite pu s’adonner à divers exercices physiques, prodigués par un coach de l’association United Fitness Diversity. Les familles ont profité de cette belle journée pour se ressourcer ensemble.

Pour ma part, cette journée a pris une tournure spéciale dès que j’ai enfilé le costume de mascotte des phryges des Jeux Olympiques. Stagiaire à la direction de la communication, je n’ai pas hésité une seconde avant d’accepter. J’avais déjà , si l’on peut dire, de l’expérience en tant que mascotte, ayant incarné l’été dernier celle des championnats du monde de para-athlétisme. Ce souvenir est resté gravé en moi grâce aux rencontres enrichissantes et aux sourires que j’ai pu partager. Si c’était à refaire, je le referai avec joie.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, il ne faisait pas trop chaud à l’intérieur, et la vision à travers les yeux de la mascotte était étonnamment claire. Le moment le plus comique a sans doute été celui où nous avons essayé de l’enfiler pour la première fois, ne sachant pas trop comment nous y prendre. Une fois en place, j’ai dû me rappeler qu’une mascotte ne parle pas, un défi pour moi, mais aussi une façon amusante de communiquer autrement avec les gens.

Ce que j’aime le plus dans le rôle de mascotte, c’est de pouvoir apporter de la joie aux gens. La mascotte est un symbole universel de fête et de célébration, et voir les visages s’illuminer autour de moi était extrêmement gratifiant. Malgré l’absence de paroles, l’interaction avec les familles et les enfants était pleine de rires et de gestes complices.

Les rires et les sourires partagés avec mes collègues de la direction de la communication ont également contribué à cette belle journée. Les Jeux Olympiques ont une magie particulière, et pouvoir en faire partie, même de cette manière, est une expérience incroyable.

Bastien Charret